Ce matin nous sommes allés en bus voir des temples et des sanctuaires. Il y en avait plein. Il y avait aussi des portes appelés “torii” et le tombeau du shogun Tokugawa Ieyasu. Pour y aller, on est passé devant le pont sacré Shinkyo et on a monté des escaliers. On a visité le temple Rinno-ji, surtout connu pour sa salle (Sanbutsudo) aux trois bouddha, 3 statues en bois couvertes de feuilles d’or, dont celle du bouddha Amida et à ses côtés le Kannon à milles bras (la statue n’en a que 40) et le Kannon à tête de cheval. Ils symbolisent chacun une montagne sacrée.

Après on a visité le sanctuaire Toshogu, le plus grand et le plus célèbre sanctuaire de Nikko, dédié au shogun Tokugawa Ieyasu, fondateur du shogunat des Tokugawa,une dynastie qui dirigea la Japon du seizième siècle jusqu’au milieu du dix-neuvième siècle. Pour accéder au sanctuaire, on a pris un escalier en pierre, appelé Sennin Ishidan et surnommé “escalier en pierre des 1000 hommes”. Dans le sanctuaire il y avait énormément de temples et une écurie sacrée.

Sur le devant de l’écurie, il y avait trois singes : le premier ne voit pas le mal, le second n’entend pas le mal et le troisième ne dit pas le mal.

Et pour finir, on a visité le sanctuaire Taiyuin-byo.

Pour aller au tombeau de Tokugawa Ieyasu, on est passé sous une porte où, au dessus était sculptée un chat blanc tacheté de noir. Il est surnommé Maneko.

Ensuite, on a pris le bus (il y avait plein de virages, ça bougeait beaucoup, on avait l’impression d’être dans Mario kart) pour aller au lac Chūzenji. On a mangé dans un petit restaurant vers quinze heures. Au menu : ramen pour tous le monde ! C’était délicieux !

Puis on est allé au bord du lac et Clémentine et Joachim se sont trempé les pieds dans l’eau et j’ai lu pendant que maman, papa et Archibald jouaient à Pokemon GO.

Pour rentrer, nous avons repris un bus qui est passé par une route aussi sinueuse que la première. Presque tous le monde a dormi. À l’arrivée, nos sommes allés au magasin pour acheter de quoi dîner et petit déjeuner. Ça nous a pris une petite heure. On ne reconnaissait pas tout et on utilisait les téléphones pour traduire les étiquettes et des fois ça traduisait des trucs bizarre. Nous sommes rentrés à la maison, prendre des douches et dîner des choses achetées au supermarché.